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Institutionnel

Réseaux de chaleur de Saint-Ubalde

Saint-Ublade
Capitale-Nationale

Promoteur du projet:
Entreprises Arsenault inc.

Chaudière:
330 kW
Construite en 2015

Type de chauffage:
Réseau de chaleur

Type d'approvisionnement:
Granules, Plaquettes
En remplacement de 51 254 litres de mazout par an

Économie:
20 000$ (pour l'église seulement)
par année

Amélioration
du bilan GES:
133 tonnes
de GES par année

Nombre de bâtiment
chauffés
8

Saint-Ubalde réalise en 2015 sont projet de deux réseaux de chaleur alimentés à la biomasse forestière résiduelles. Ces deux réseaux alimentent en chaleur la bibliothèque, l’église, l’hôtel de ville, le bureau de poste, la salle communautaire, les bureaux, le garage mécanique et un atelier. Grâce à ce projet, la démolition de l’église a pu être évitée. Les deux systèmes sont complètement automatisés et peuvent être gérés automatiquement par un système informatique à distance. Une partie importante de la biomasse forestière provient de la région, ce qui permet de réduire les activités de transport des approvisionnements. La municipalité de Saint-Ubalde à bénéficié d’une aide gouvernementale de 442 883$ du MERN et de 116 883$ de la Fédération canadienne des municipalités contre un total d’investissement de 1 143 800$.

En savoir plus sur le projet.
En savoir plus sur la municipalité de Saint-Ublade.

L’huile à chauffage avait atteint un prix exorbitant. Et puis, on savait qu’à long terme, celui des énergies fossiles allait toujours monter.

Harold Tremblay

Consultant en bâtiments mandaté par la municipalité

À côté du moulin à scie, on envisage même un nouveau développement d’une trentaine de maisons, toutes chauffées à la biomasse, poursuit le maire. La population est vieillissante, il faut faire quelque chose. On cherche à attirer des jeunes familles.

Guy Germain

Maire de St-Ubalde

Avant, quand on chauffait à l’huile, on n’avait pas les moyens de garder l’église au chaud. Les ornements en plâtre risquaient de craquer avec l’air froid et humide. Et avec le vieux système à la vapeur, on chauffait surtout l’avant de l’église. En arrière, on gelait, se souvient le bénévole. Maintenant, c’est beaucoup plus confortable. Avec les calorifères à l’eau, on chauffe partout dans le bâtiment.

Jocelyn Denis

Paroissien bénévole

Le projet en images